Alors que le rapprochement entre les consommateurs et les producteurs est enfin envisagé par le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, qui s'intéressait davantage jusqu'ici à la bonne santé de l'industrie et des gros producteurs agricoles qu'à celle de la population, on s'étonne du retard accumulé au Québec en matière de marchés publics, des lieux pourtant propices à la diffusion de produits frais. Lire la suite.
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